Gélules :
Le Phytostandard d'Eschscholtzia est élaboré à partir de la plante fraîche (congelée après récolte) dont l’origine est tracée. La fabrication depuis l’extraction brevetée jusqu’à la mise en gélule est réalisée en France, ce qui permet unetraçabilité des produits depuis leur production jusqu’à leur distribution.
Certifié Agriculture Biologique, le Phytostandard d'Eschscholtzia garantit qu’au moins 95% de ses ingrédients sont BIO.
Un process d'extraction breveté :
Chaque plante peut contenir jusqu’à 250 composés dans ses cellules. L’ensemble de ces composés forme le totum de la plante.
Tous les extraits de plantes ne se valent pas : le procédé d’extraction est une donnée clé pourpréserver l’intégralité des composés végétaux.
Les compléments alimentaires PhytoPrevent bénéficient d'un mode d'extraction permettant de restituer un maximum des composés de la plante.
Les parties aériennes fleuries d'Eschscholtzia sont congelées après récolte pour que les composés soient préservés. Interviennent ensuite le broyage puis l'extraction selon le procédé breveté Phytostandard reconnu pour son respect de l'intégrité des composés de la plante.
L'extrait d'Eschscholtzia alors obtenu est sans alcool. Il est ensuite lyophilisé, c'est-à-dire déshydraté à froid pour être mis en gélule végétale.
Liquide :
Complément alimentaire à base d'extrait fluide d'eschscholtzia
Standardisé et stabilisé - sans alcool
Les phytostandards sont des extraits fluides, produits à partir de plantes sélectionnées dont l’origine est tracée.
Ils sont obtenus selon une extraction brevetée qui respecte l’intégrité des composés de la plante. Ces extraits sont standardisés et assurent une teneur constante et stable en un traceur sélectionné.
En savoir plus sur l'Eschscholtzia :
Nom latin : Eschscholtzia californica Cham. (famille des Papavéracées)
Partie utilisée : Parties aériennes fleuries
Histoire : les Indiens consommaient ses feuilles en guise de légumes. Ils les faisaient bouillir ou griller sur des pierres chaudes. Il fut introduit en Europe au XIXème siècle comme plante ornementale par un botaniste russe, J.F.G. Eschscholtz, d’où son nom : Eschscholtzia.